Réforme des retraites…
… retraites des Français… recul de l’âge de départ en retraite… âge pivot à 64 ans…
Voilà quelques-uns des termes les plus entendus sur la place publique depuis plusieurs semaines.
Il revient à chacun de se faire un avis sur le contenu de la réforme proposée par le gouvernement.
Cependant une chose est sûre : le déficit de notre système en vigueur va perdurer, pour atteindre plus de 10 milliards d’euros en 2022 !
Si l’on en croit le Conseil d’Orientation des Retraites, un retour à l’équilibre pourrait dans le meilleur des cas être possible vers 2040…
Peut-on alors véritablement compter sur la pertinence d’une réforme qui, au fil des semaines, perd de sa substance et de sa capacité à atteindre un équilibre ?
Un jour, une génération sera mise devant le fait accompli : travailler plus longtemps, et surtout accepter des baisses des retraites servies, donc de son niveau de vie.
Doit-on s’y résoudre ?
Doit-on tout attendre de l’Etat providence et subir les futurs effets néfastes d’un système à bout de souffle ?
Je ne m’y résous pas.
Si l’épargne aujourd’hui ne rapporte quasiment plus rien, un actif tangible et réel recueille l’engouement de nombreux Français, c’est l’immobilier ! Et il est accessible à tous, ou presque…
En effet, le crédit bancaire pour l’immobilier n’a jamais été aussi bon marché, les taux d’intérêts sont au plus bas, on emprunte aujourd’hui autour de 1% sur 20 ans.
Grâce à ce levier du crédit bancaire, on peut aujourd’hui se créer un patrimoine immobilier, et donc des revenus potentiels pour sa retraite, à partir d’efforts mensuels budgétaires de l’ordre de 200 euros.
Cela n’est plus réservé aux ménages les plus aisés, mais aussi accessible à des ménages plus modestes.
Je vous invite à solliciter nos conseillers pour vous en faire la démonstration !
Bonne année 2020 à tous.
Jean-Marie SEILER